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QUI PEUT ENCORE PARLER DE FICTION ?
Tout en déplorant que sa patrie culturelle ne coïncide pas avec son Etat et bien que son cœur batte en direction de l’Hexagone, François Perin va déployer – en tant que constitutionnaliste, homme politique, chroniqueur et écrivain – une énergie peu commune pour engendrer la réforme fédérale du Royaume de Belgique.
En mars 1980, il démissionne spectaculairement du Sénat, en déclarant que la Belgique est malade de trois maux, incurables et irréversibles, dont le nationalisme flamand.
Il reprend ensuite, en solitaire, le chemin difficile des vérités insupportables.
Ses prévisions pessimistes quant à la survie de l’Etat belge s’avéreront-elles fondées ?
L’évolution politique récente et le grand round communautaire annoncé pour le lendemain des élections législatives pourraient le donner à penser.
Il nous indique ici clairement la voie à suivre en cas d’implosion de la Belgique.
François Perin est un « libertaire penseur ». A certains moments, j’avais l’impression de me trouver en face de Voltaire, Edmond Blattchen, RTBF, Noms de Dieux.
TABLE DES MATIERES
I Une personnalité en devenir
Le malaise d’être Belge
Socialiste par haine du fascisme
Le Congrès national wallon de Liège de 1945
Antiléopoldiste
L’aventure du CRISP
La guerre scolaire
La carrière universitaire
La Démocratie enrayée
La décolonisation
André Renard
La grande grève de 60-61
Le Mouvement populaire wallon
Le premier discours politique
II De la chaire à l’arène
La Belgique au défi
La frontière linguistique
Deux philosophies politiques inconciliables
Le compromis des socialistes
François Perin vide son sac
La guerre ouverte entre le PSB et le le MPW
Président du PWT
L’intérêt qu’il suscite chez Jacques Brel
Député
III Le rassembleur
Le premier discours à la Chambre
La complicité avec Jean Gol
François Perin et Robert Moreau au Parlement
Crise de régime
Un PLP chaque jour un peu plus unitariste
L’ambiguïté flamande
Irrédentisme pro-français
L’affaire de Louvain
La création du Rassemblement wallon
Le Groupe des 28 : François Perin conduit le bal
Le tour des Flandres
Arrivée de Léo Tindemans
Le conclave de Steenokkerzeel
La théorie du pédoncule
IV Ministre
Une mémorable colère
La régionalisation préparatoire
L’homme du silence
Assainir le système politique
Le remplacement des avions de combat
Le RW renouvelle sa confiance à l’équipe Tindemans
François Perin s’explique sur son mutisme
La patience s’avère payante
Les guichets de Schaerbeek
Nouvelles tensions au RW
Un « rapport politique » controversé
Une remarquable prestation télévisée
Evolution positive au PSB
La crise au sein du RW
Contacts avec le PSC
Le CRéER
Le virage à gauche du RW
La fondation du PRLW
VI Réformateur
Le cœur de Jean Gol bat en direction des libéraux
Démission de la fonction ministérielle
Le RW provoque la crise gouvernementale
Volksunie et FDF au gouvernement : le pacte d’Egmont
François Perin se garde de tout obstructionnisme
Suppression des conseils régionaux
Réticences flamandes à l’égard d’Egmont
Au Stuyvenberg
Tindemans, un maître de la confusion
Rendre à Perin ce qui appartient à Perin
Honnêteté intellectuelle, sens de l’Etat, sagesse goethéenne
Tindemans saborde Egmont
Fuir les châteaux et la particratie
Le fait et les mœurs précèdent le droit
Des formules de rechange conciliatrices
La torpille FDF
La perfidie CVP
La complexité bruxelloise
Trois mois et demi pour enfanter un gouvernement
Où il est question de fusion
La périphérie bruxelloise
Notes personnelles sur la crise d’octobre 1978 et les mois qui suivirent
Wilfried Martens, premier ministre – Le scepticisme pessimiste de François Perin
L’épreuve de force FDF-CVP
VI La fin des illusions
Belgique Requiem
Solidarité réversible
La démission du Sénat
Un curieux dîner de libéraux et de capitalistes
La Belgique est bien morte !
Un Jean Gol déplaisant et arrogant
Une démission abondamment commentée
Oscar de la meilleure présence à l’écran
VII Les vérités insupportables
Petite leçon d’histoire belge
Wilfried Martens trahi par les siens
La nation wallonne n’existe pas !
Méfions-nous du « wallonisme » !
Régionalisation définitive pour la Wallonie et la Flandre. Toujours rien pour Bruxelles
Etat des rapports avec Jean Gol
Le cocon belge et la chrysalide flamande
La crise économique disloque la Belgique
Un Etat flamand indépendant, une Wallonie française
Germes et bois morts
De moins en moins à l’aise au sein du PRL
La Région bruxelloise ne verra jamais le jour
Adversaire d’une Wallonie indépendante
Le caractère éminemment français de notre identité
Un manifeste pour la culture wallonne
Antoinette Spaak consulte François Perin
Fédéralisme provincial
Les Fourons reviennent à la une
VIII Une affaire Happart
Happart entre en piste
Happart doit se perfectionner en néerlandais
Sonnette d’alarme : danger !
Happart fait un tabac aux élections européennes
Je ferai sauter la baraque belge :
J’ai rendez-vous avec l’Histoire !
La caution morale de Perin
Wallonie, Région d’Europe
Connaissance insuffisante du néerlandais
Jean Gol parle de situation médiocre
Divergences de vues PSC-CVP
Le coup de force de Charles-Ferdinand Nothomb
Le carrousel fouronnais
Recours au Roi
Les BCBG de la francophonie belge
Couper l’habit de bourgmestre en deux
Sauveurs d’essentiel
La guerre des juges
Empoignades au sein du gouvernement
Martens VII succède à Martens VI
La démocratie n’est pas négociable
L’effet Happart a dominé l’effet Martens
Les Fouronnais foulés aux pieds !
La Belgique ne peut être autre chose que ce monstre
Le Conseil d’Etat coupé en deux
IX Les vérités insoutenables, suite
Et si la Flandre proclamait son indépendance ?
Jean Gol d’accord à 100%
J’embête tout le monde et je perds mon temps
De Gaulle et la Wallonie
Commandeur de la Légion d’honneur
X La rupture avec le PRL
Candidat aux premières élections européennes au suffrage universel
L’effet Beyer
Les relations avec Gol commencent à se détériorer
Jean Gol flirte avec le RPR
Le PRL doit se montrer davantage européen
Démission du PRL
Deux visions différentes du libéralisme
La constance de ses convictions : l’action wallonne et européenne
XI De la Belgique fédérale à la Wallonie française
Pas d’alternatives à la Belgique à court terme
La Belgique, c’est un souk !
Les précaires compromis des Belges
Pas de précipitation avec l’option rattachiste !
Cinq exigences wallonnes
Bruxelles sort des limbes
Histoire d’une nation… introuvable
Pas question de renoncer à la Communauté française
Un moment charnière dans l’histoire du Mouvement wallon
Populisme régional populaire et borné
Rupture avec José Happart
Les problèmes posés par la communautarisation de l’enseignement
Quand le Roi découvre la couronne
Des Wallons à Lille
Je ne vois pas la cause flamande progresser à Bruxelles
L’accord de la Saint-Michel
Amis wallons, divorçons à l’amiable !
Et si on consultait les citoyens ?
Vlaanderen 2002
La Belgique, un Etat fédéral
La Flandre veut aller plus loin
Quand le Roi et van den Brande entonnent ensemble le Vlaamse Leeuw
La confédération est une hypocrisie
Nous achèterons Bruxelles !
L’idée rattachiste progresse
La mort de Jean Gol
La paranoïa de l’opinion
Les Français favorables au rattachement ?
Vers un manifeste francophone
Franc-parler ou Perin-Voltaire
Le rattachisme n’est plus tabou
Lettre ouverte à un ami flamand
Un Etat belge wallo-bruxellois
Ces Belges épris de Marianne
Des Wallons au Sénat français
Une Flandre de nouveau offensive
Eerdekens persiste et signe
La bataille de la périphérie
Le débat Communauté-Région rebondit
Une coalition arc-en-ciel
Fantasmes flamands
L’adhésion au Rassemblement Wallonie-France et Bruxelles-France
Gendebien, deuxième fils spirituel
L’accord de la Saint-Polycarpe
Flandre indépendante ? Chiche !
Une Belgique en voie d’évaporation
De l’arc-en-ciel au violet
Retour des frictions communautaires
Le chant des sirènes confédéralistes
L’affaire Thone
Quand le Premier se retrouve dernier
La FGTB décapitée
Boycott du scrutin européen
Un fait politique majeur
Belgique-België : terminus
DHL-BHV
Irritation princière à propos du Vlaams Belang
Danger en périphérie bruxelloise
Bruxelles-Hal-Vilvorde : un feuilleton surréaliste
Le malaise économique wallon
Le plan Marshall
Un manifeste pour l’indépendance de la Flandre
Le nouveau code du logement flamand suscite la polémique
Faut-il liquider la Communauté française ?
Le PS alimente le séparatisme
Le plan Marshall est lancé
Coups d’accélérateur pour l’autonomie flamande
Albert II et le fédéralisme explicite ou feutré
Le projet de Constitution flamande du CD&V/N-VA
Belgique : le dernier quart d’heure ?
Unir tous les francophones
Le cordon sanitaire autour du Vlaams Belang
Un premier ministre francophone
L’écart Nord-Sud n’en finit pas de se creuser
Yves Leterme, l’homme dangereux
La centrale FGTB du métal divorce
Le ras-le-bol des Jeunes CD&V
Riposte à la Flandre
Régionaliser l’emploi
Le PS et les affaires
Le cordon sanitaire saute sur un vote anti-belge
Yves Leterme s’explique
Un contrat entre les Communautés
Yves Leterme ouvre le feu de la rentrée politique
Confiance les Wallons !
Communauté française : danger !
François Perin, candidat RWF aux élections provinciales
François Perin tue le fantôme
Les «affaires » rebondissent
La tournée de séduction de Leterme
Embarrassant Dedecker
Le prince Laurent sur le gril
Le scénario-fiction de la RTBF
« B Plus » : pour le fédéralisme d’union
La FGTB fait front avec la CSC
La troisième voie de Guy Verhofstadt
Cacophonie francophone
Tempête médiatique pour Philippe
Les libéraux flamands, à la fois belges et flamingants
François Perin n’est pas « ministre d’Etat »